Radicalisation et psychiatrie : une camisole de préjugés !
La F2RSM Psy a organisé une nouvelle demi-journée le 27 juin 2019 à la clinique la Roseraie de Soissons.
Cet événement a eu pour thème : Radicalisation et psychiatrie : une camisole de préjugés !
« Je ne suis pas un cas psychiatrique et je suis pénalement responsable » a déclaré Anders Behring Breivik, terroriste norvégien d’extrême droite, lors de son procès. Par radicalisation, on désigne le processus par lequel un individu ou un groupe adopte une forme violente d’action, liée à une idéologie extrémiste à contenu politique, social, économique ou religieux. La radicalisation est un phénomène complexe et multiforme dont l’un des enjeux particulièrement ardus est de définir le profil psychologique type de l’individu radicalisé. Cette évaluation est-elle le pré-carré de la discipline psychiatrique ? Les outils pour évaluer la dangerosité psychiatrique permettent-ils d’estimer la dangerosité criminelle ?
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Programme
Dr Olivier Brochart, psychiatre, référent médical, Clinique de la Roseraie
Jean-Jacques Guérin, directeur, Clinique de la Roseraie
Margot Trimbur, interne de psychiatrie
Dr Olivier Brochart, psychiatre, référent médical, Clinique de la Roseraie
En présence de :
David Fasquel, chef du service départemental du renseignement territorial de l’Aisne
Maître Pauline Manesse, avocat, droit pénal, droit des victimes, barreau de Paris
Alain Lecherf, directeur général adjoint, CH Valenciennes
Modérateur : Dr Michaël Dufour, psychiatre, CH Valenciennes